Avant d’aller au Bloody…

Bloody Week-end !

Rappelez-vous, il y a trois ans de cela…

Poulpy n’était qu’un tout petit critique, qui débutait sur la toile. Son boss, monsieur Nain, de la Taverne du Nain Bavard, l’avait invité à se rendre au Bloody Week-end pour réaliser son premier reportage…

Et Poulpy y est allé ! Sans savoir que cela allait changer sa vie.

Toutes ses rencontres que j’ai faites à l’époque : j’ai découvert La Clef d’Argent – mon partenaire – les Artistes Fous, et tout un tas d’auteurs. Alors j’y suis retourné, dans la joie, dans la bonne humeur, une seconde année, pour un weekend complet. Et là encore, j’ai adoré ! Interviewer tout un tas de réalisateurs, revoir tous mes contacts Facebook, une seconde fois, créer de nouvelles amitiés… C’était un moment de pur bonheur.

Puis le Bloody Week-end revient, comme tous les ans. Bien sûr que Poulpy ira ! Je ne peux pas rater ça. Ça va être trop biiiiiien ! La Dwarve Team ne sera pas présente, dommage ça aurait été l’occasion de prendre des nouvelles de mon ancien employeur. La Clef d’Argent sera là, ce sera l’occasion de parler business (et chats)… Mais qui d’autre sera là ?

Et d’ailleurs, qu’est-ce que le Bloody Weekend ? Peut-être que certains d’entre vous, petite minorité, ne le savent pas. Et que serait un reportage de Poulpy sans sa petite introduction, ce petit flash publicitaire, fait pour vous inciter à venir ?! Venez, venez, c’est trop bien !

Alors, le Bloody Weekend, c’est ça.

« Le Bloody Week-end est un événement culturel réunissant d’un côté une compétition internationale de courts-métrages et de l’autre une convention du film fantastique. Il s’adresse à un public de passionnés mais également à tous ceux qui souhaitent découvrir le Fantastique sous toutes ses formes. »

La 6ème édition se déroulera les vendredi 29, samedi 30 et dimanche 31 mai 2015,
à l’espace Japy avec le soutien de la ville d’Audincourt – bloodyweekend.fr

C’est ça. Ça, ça vous donne envie ? Non, toujours pas ? Vous hésitez à venir ? Vraiment ??? Bon, alors prenez ça : un article rédigé pour le Nain, l’an dernier, qui fait l’apologie de ce salon, ce merveilleux salon, Fantastique salon, je dirais même :

« Ce qu’on a adoré dans le festival ? La proximité. Les invités, le staff, les stands… Tout ce monde dispo pour toutes sortes de conversations, du jamais vu. Et puis ces fans, ce mélange de goût et de couleur, se réunissant tous sous la bannière du cinéma Fantastique, et de l’étrange, dans une passion commune et avec cette envie de crier au monde : Yes, we can ! Le retour à la vie réelle était si douloureux après cela… » + le programme de l’an dernier, rédigé par Poulpy, avec Albertine Crowley à la photo. Ça troue le cul, hein ?

01_afficheTenez, voici une interview de Loïc Bugnon, fondateur et directeur artistique du festival, réalisée il y a trois ans (déjà !) de cela. Et puis, faisons-nous un peu de pub, un récapitulatif de nos articles sur le Bloody Week-end, quatrième édition :

semaine speciale Bloody week-end partie 1 : En passant il y a un truc qui m’a vraiment surpris : dans tous les festivals où je suis allé, un moment, il y aura quelqu’un pour se plaindre de l’organisation au niveau des stands, le staff n’est pas vraiment à l’écoute et il arrive souvent qu’il y ait des rixes. Et bien, vous savez quoi? Rien. Sérieux, que dalle! Tout le monde était content, souriant, et l’atmosphère… Je suis vraiment ravi, et surpris, de vous dire que c’est le meilleur festival auquel je me suis rendu. Bon, c’est sûr, je n’en ai pas fait beaucoup, c’était mon premier dans ce genre, mais je vous le conseille. Trust me, je ne suis pas un bleu, je sais reconnaître quand il y a eu la dose, niveau boulot. Mister Bugnon, I’ll be back.

semaine Bloody week-end reportage 2 : Au cours de ces interviews, j’ai eu la chance de rencontrer Jean-Pierre Andrevon, et j’ai passé un bon moment avec lui. Je ne pense pas que j’aurais la chance de le revoir un jour, je n’oublierais jamais cet entretien vraiment enrichissant. J’ai du passer pour un abruti avec tous mes Whoah… C’est une personne que l’on aime vraiment écouter. Je me suis dit, il doit avoir de la bouteille ce monsieur, on ne peut pas mieux dire.

semaine Bloody week-end reportage 3 : de bonnes interviews d’auteurs et éditeurs.

semaine Bloody week-end reportage 4 : …Encore une fois, Poulpy est impressionné. Chaque écrivain interviewé a toujours une vision et un passif différents, qui se retrouvent dans leurs styles, très différents, quel que soit le genre. Ça a été un honneur de pouvoir les rencontrer. C’est amusant, car ce genre de constat se retrouve aussi chez les illustrateurs…

semaine Bloody week-end reportage 5 : d’autres rencontres de graphistes et artistes.

semaine Bloody week-end reportage 6 : C’est triste de ne pas avoir pu parler aux réalisateurs et autres des films en compétition. En fait, l’an prochain, si je suis encore d’article, j’aimerais faire une sorte de suite complémentaire : la même chose, mais cette fois en interviewant le staff des films, puis les exposant en un peu moindre (la plupart seront de retour, il y aura moins à faire). Qu’en dites-vous? Bon on a le temps de peaufiner.

Et l’article de monsieur Nain, Bloody week-end chapitre 3 : Un point que je trouve personnellement admirable de la part des organisateurs (en plus d’avoir eu un contact fort sympathique) c’est l’énergie qu’ils mettent dans l’accessibilité du festival pour tous. Jeunes et moins jeunes en leur faisant découvrir un pan complet du cinéma quitte à déclencher des vocations. Valides et handicapės en permettant, par exemple, aux personnes atteintes de surdité de comprendre les films en sous-titrant le plus possible. Et enfin riches et moins riches en faisant en sorte d’avoir des solutions de logement accessibles à toutes les bourses, en créant des partenariats avec les acteurs du tourisme local. Et la cerise sur le gâteau : le président de l’association se déplace dans différentes villes afin de faire partager sa passion et faire connaître son évènement.

02_profilSuite de la rétrospective, le Bloody Week-end, cinquième édition.

Poulpy a passé trois jours sur les lieux de ce festival. Trois jours à la dure, à bosser afin de vous fournir l’Article qui vous donnera envie de venir à ce salon. Un reportage en plusieurs parties, réalisé pour la TNB (les liens de la partie 0 et de la partie 1 sont également ci-dessus).

Les interviews des membres du jury :

René Manzor (Le Passage ; 36,-15 Code Père-Noël ; Dédales) Philippe Nahon (parrain du festival, acteur dans Seul Contre Tous ; Haute Tension ; Calvaire), Mick Garris (adaptateur des livres de Stephen King au cinéma ; La Mouche 2 ; Witches of East End), Benjamin Rocher (Goal of the Dead ; La Horde ; Suck My Geek) et Laurence Harvey (Human Centipede 2 et 3). Ruggero Deodato (réalisateur de Cannibal Holocaust) et Barbara Magnolfi (Suspiria ; L’Homme au pistolet d’or), étaient présents.

La compétition de court-métrage ; Les conférences, les expositions, les animations ; Les exposants… Tout cela vous est disponible, en un click !

…La dernière partie du reportage, une conclusion, n’a jamais été publiée. La raison de cela : ma photographe a démissionné. Du coup, j’avais un texte, mais je n’avais pas de photos à vous montrer ! Je n’ai toujours pas de photos à vous montrer… Mais voici le texte.

Une petite conclusion rédigée par les membres du jury et d’autres invités du Bloody Week-end V. Ce serait idiot de garder ça pour soi ! Oui, je vais publier ça ici, comme ça. Et rassurez-vous : cette année, je n’ai embauché personne. Donc vous aurez tout de même des photos à regarder. C’est moi qui les prendrais…

Si mon opinion au sujet du Bloody Week-end ne vous suffit pas, voici celles des sommités qui s’y sont rendues : tout le monde à aimé le BWE. Pourquoi donc ? Le Fantastique. Le thème de ce festival. Thème adoré, thème abordé tout au long d’un week-end de rencontres et de découvertes.

Le Bloody Week End, cinquième édition, par Poulpy, Partie 6 :

J’ai, comme l’an dernier, posé cette grande question qui est : « quelle est votre définition du Fantastique ? ». Oui, car il s’agit du grand thème de chaque Bloody Weekend ! Pour beaucoup, le Fantastique est un autre mot pour désigner le domaine de l’imaginaire, du rêve et de l’irréel. Pour d’autres, le Fantastique est une découverte, une quête vers l’inconnu voire même une fuite de la réalité. Certains voient plutôt l’aspect technique développé dans les effets spéciaux ou FX, d’autres y voient la peur. Voici quelques réponses des personnes interviewées à ce sujet :

03_banniere

Le Fantastique,

C’est une idée, c’est l’imaginaire, tout ce qui est faux, mais beau, j’aime bien. J’ai vu des films Fantastiques, j’étais sur le cul. Il y a l’extraordinaire et il y a les comédies de tout les jours où il n’y a rien de fantastique.

La France régresse avec le Fantastique. Je connaissais une fabrique, la Fabrique du Film, qui a complètement abandonné le film gore parce que cela ne marche pas en France. Les producteurs ne sont pas couillus ici, il faut maintenant s’allier avec les Belges ou avec les Espagnols pour faire des films un peu osés. Alexandre Aja, par exemple, est parti aux États-Unis et il a gagné, il travaille là bas maintenant. Malgré le succès de Haute Tension dans le monde entier, en France, il n’aurait presque pas un rond pour faire un film, comme Gaspar Noé. – Philippe Nahon.

Pour moi le Fantastique n’est pas aussi intéressant que la vraie vie. Comme je préfère l’horreur à la science-fiction, car c’est plus réel et plus personnel, et le fantastique, c’est raconter une histoire, cela ne veut pas dire qu’elle va arriver, c’est juste de l’imagination. Dans mon travail il s’agit de vous emmener quelque part où vous ne vous imaginez pas que l’on vous emmène avec des méthodes et des moyens techniques qui peuvent vous paraître fantastiques dans un monde qui vous paraît réaliste alors que cela ne l’est pas. Mick Garris.

Le Fantastique c’est l’évasion. C’est transcender le réel. Allez au-delà de la croute du réel pour parler de tout cela, de façon métaphorique, de façon poétique.

Les films gore, trash, hyper violents graphiquement, et les films d’horreur – je ne parle même pas des giallos – sont des œuvres de fiction très exigeantes, autant en littérature et qu’en BD, qui se reposent beaucoup le langage et la façon de raconter. On peut parler de tout avec le Fantastique. Comme le cinéma est un rêve communiqué avec plein de gens, le Fantastique est le meilleur vecteur.

Dans mes films je n’ai cependant pas de grand message à faire passer, je souhaite juste que je public se marre, qu’il rigole et passe un bon moment, car ça, c’est fantastique. Benjamin Rocher.

Le Fantastique, c’est ce qui transporte les gens dans un autre univers. Faire croire à quelque chose qui n’existe pas, ou que l’on ne pense pas que cela existe, comme les fantômes, les extra-terrestres, des fées, des lutins ou des araignées géantes. C’est la passion, la peur, l’émerveillement… Guillaume Buiges.

04_juryLe Fantastique,

C’est une idée. Un prof de philo dirait qu’une idée est un objet que l’on formalise sous plusieurs formes, écrites, filmées ou même en parole, tout simplement. L’imaginaire prend ensuite le pas, c’est inné chez l’individu, et l’on n’a pas le même regard, car on se projette vers cet objet.

Quand plonge-t-on dans le Fantastique ? Je pense que c’est très subjectif. Quelque chose qui est normal pour moi ne l’est pas forcément pour mon voisin et peut être du domaine du Fantastique, ou vice versa. De cette façon, un phénomène anodin peut basculer dans l’irrationnel. Où franchit-on la limite ? Je ne sais pas, car nous sommes toujours en équilibre sur le fil tenu qui sépare le réel de l’irréel. Chris Vilhelm.

Ce sont les films de ma jeunesse. C’est un mélange entre la réalité et la fiction, une sorte d’autofiction. Ça évoque aussi la peur, l’appréhension, l’inconnu, c’est… Flippant. Emmanuel Bayeux.

Le fantastique ? C’est la manière classique, dès qu’il y a un petit déclic qui fait basculer le monde réel dans l’irréel. Mais j’aime beaucoup le merveilleux, quand on part d’un monde irréel à la base et que tout est imaginaire, mais ce n’est pas la même chose. Artus films.

Un monde imaginaire qui évoque les réalités de tous les jours pour lequel les gens s’attachent, car il développe des questionnements sur la vie réelle, sur nous-mêmes, ou sur notre raisonnement face à une situation qui pourrait arriver, tout en développant des univers improbables. – Adélaïde et Mako.

Quand vous êtes dans une ruelle sombre, qu’il n’y a personne et qu’un lampadaire clignote, vous repensez à tout ce qui pourrait arriver. Quand vous êtes enfant, vous voyez un monstre dans le placard ou sous le lit. Le Fantastique est l’héritage que l’on a du folklore, des mythes, mélangé à ce qui est devenu la culture pop. Il s’agit de tout ce qui est inhumain, qui peuple la nuit et l’imaginaire. C’est ce que l’on voit par-dessus la réalité. – Tirodem.

05_photoEt, si vous voulez un peu plus de pub pour le BWE, voici celle de monsieur Nain, qu’il a rédigé cette année. Vous voyez, nous sommes tous fan du Fantastique, du Bloody Week-end ! Vous vous sentez prêt à nous rejoindre, pour un week-end de folies ? Non ? Bon, ok, vous ne me donnez pas le choix. Voici un nouvel argument : le programme du Bloody Week-end, sixième édition.

D’ailleurs, il est consultable ici !

Le Bloody Week-end est surtout connu pour ses compétitions de courts-métrages. Une fois encore, plusieurs films seront présentés lors de quatre séances et des prix seront attribués à leurs réalisateurs par les membres d’un jury très spécial…

Le Bloody Week-end est aussi connu pour ces conférences. C’est l’occasion de découvrir des auteurs comme Maxime Lachaud, essayiste et journaliste français. « Maxime Lachaud s’est imposé comme une référence dans la recherche autour des arts et de la littérature du Sud des États-Unis. » Il vous fera découvrir le cinéma de rednecks, genre assez particulier…

Au Bloody Week-end, il y a toujours quelque chose à faire. Tout comme les années précédentes, vous pourrez dégommer des zombies à l’air-soft, découvrir un spectacle avec Loïc Bugnon, vous faire maquiller ou transformer en zombie et autre, faire connaissance avec des associations qui promeuvent des licences comme Star Wars, V, Marvel/DC comics (en costume !)…

Il y aura toujours la traditionnelle tombola, les quizz, le concours de cosplay et le concours de scream queens… Mais, en plus de cela, l’association Fantastic Shows a conçu une animation interactive, le Labyrinthe Zombie : « Inspiré de la prochaine saison d’Halloween, devenez acteur de votre propre film d’horreur en tentant d’échapper aux nombreux zombies et créatures étranges qui hantent cette attraction… ».

Même l’équipe de Roller Derby de Belfort sera là pour vous accueillir ! Cette année, il y aura même une dégustation des vins d’Henri Maire, Pascal Tourain, l’homme tatoué, sera de retour, ainsi que la « Joker » prêtée par la société de location de voitures de Prestige et de collection. Et vous pourrez papoter avec les prestigieux invités, membres du jury, qui vous dédicaceront leurs photos… Sans oublier le concert des Boobs Collection qui aura lieu samedi soir.

Puis, il y aura plusieurs expositions : celle de Vortex-X, de l’Upcycling Activisme ; celle de Gilles Bellagamba, des sculptures robotiques ; de Mathieu Geiss, de la Dark Fantasy, du dessin de nu et de Pin-Up. ; de Nicolas Wurth, photographe influencé par le cinéma fantastique et horrifique ; de Laurent Boron, peintre ; d’Okiko, illustrateur ; de Yann Vaugne… Bien sûr, je n’aurait pas le temps de tout voir, mais je vous promets un petit récapitulatif en image !

Au Bloody Week-end, il y aura des exposants. Si vous cliquez sur les liens précédents, vous verrez que certains sont de retour. Sinon,voici la loooongue liste des stands à découvrir : maquilleurs FX, auteurs et éditeurs, producteurs, réalisateurs, graphistes, journalistes, figurinistes, vendeurs de produits dérivés, de vêtements, de DVD, de peluches, libraires…

Au Bloody Week-end, vous verrez de nombreux films. En présence de Maxime Lachaud, Bloodsuckers From Outer Space de Glen Coburn et Mother’s Day de Charles Kaufman. En présence du réalisateur Jacques-Hervé Fichet, Léa, un ange dans ma maison ; de Brian Yuzna (président du jury), Return of the living Dead 3 ; d’Anthony Hickox, Waxwork ; de Jean-Pierre Dionnet, Parents ; de Jake West, Doghouse. Ce qui m’amène à vous parler des invités prestigieux, venus de France, des USA et d’Angleterre…

06_montageQuelles sommités seront présentes cette année ?
Quatre grands réalisateurs, scénaristes et producteurs :

Brian Yuzna (président du jury)

Brian Yuzna (né le 30 août 1949 aux Philippines) est un producteur, réalisateur et scénariste américain ayant principalement œuvré dans le domaine de l’horreur et quelques fois de la science fiction. Tout comme Stuart Gordon, dont il a produit plusieurs de ses films, Brian Yuzna est un grand admirateur de H. P. Lovecraft, dont il a adapté plusieurs de ses livres à l’écran comme réalisateur ou producteur (Re-Animator, Aux portes de l’au-delà, Castle Freak, Necronomicon, Dagon). – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

John Penney

John Penney is an American film producer, screenwriter and director who has been working in the horror genre for over thirty years. He has created material for, and been involved in, a range of subgenres, including zombie movies (Return of the Living Dead III), classic Creature Features (Amphibious), and supernatural thrillers (Hellgate). – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

Anthony Hickox

Anthony Hickox est né en 1964, dans une famille de cinéastes anglais. Fils aîné du réalisateur Douglas Hickox et de la monteuse Anne V. Coates, il est le frère de la monteuse Emma E. Hickox et du réalisateur James D.R Hickox. Il est également le petit neveu de Lord J. Arthur Rank, qui fonda en 1935 les mythiques studios Pinewood. Souhaitant s’inscrire dans cette lignée artistique, il émigre aux Etats-Unis afin d’y faire carrière. Il signe son premier film en 1988, “Waxwork”. Suite à cette première réussite, il dirige “Sundown” et “Hellraiser 3”. – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

Jake West

Né en Angleterre en 1972, Jake West se passionne très tôt pour le cinéma fantastique et horrifique. A l’âge de 23 ans, il tourne son premier court-métrage, primé au Fantastic’Arts 2000 : Club Death. Nous retrouvons déjà devant la caméra celui qui deviendra son acteur fétiche : Christopher Adamson. En 1998, il parvient à passer du court au long-métrage avec Razor Blade Smile. A la fois réalisateur, monteur et producteur, le cinéaste récolte pour ce premier galop d’essai le Prix du Meilleur Film au B-Movie Film Festival de Syracuse. En 2005, il met en scène Evil Aliens. Suite à Evil Aliens, il s’attache à la mise en scène de Pumpkinhead – Les Condamnés. En 2009 il tourne Doghouse, comédie horrifique, en 2012, Jake West intègre l’équipe de The ABC’s of Death. De 2003 à aujourd’hui, il s’est également consacré à la réalisation d’un grand nombre de documentaires. – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

Jean-Pierre Putters, journaliste, écrivain, rédacteur en chef, producteur

Jean-Pierre Putters est un journaliste et critique de cinéma fantastique français né en 1956. Il est le fondateur de la revue Mad Movies en 1972. En 1979, il ouvre la librairie de cinéma Movies 2000 à Paris. Il crée en 1986 le magazine Impact, plus consacré aux films d’action, aux thrillers et au film noir. Il a écrit plusieurs livres sur le cinéma fantastique dans les années 1990 : Ze craignos monsters. En 2011, il sort un livre appelé Ça l’affiche mal ! consacré aux affiches de cinéma du Ghana. Le 25 janvier 2013, Jean-Pierre Putters, en collaboration avec Rurik Sallé, lance une nouvelle revue bimestrielle intitulée Metaluna orientée cinéma de genre, musique hard rock et érotisme. Il en résultera une rupture avec l’équipe de Mad Movies. – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

Jean-pierre Dionnet, scénariste, éditeur, présentateur TV

Jean-Pierre Dionnet, né le 25 novembre 1947 à Paris, est un producteur, scénariste, journaliste, éditeur de bande dessinée et animateur de télévision français. Cofondateur de Métal hurlant et des Humanoïdes associés en 1974, il a découvert ou introduit en France de nombreux auteurs et joué « un rôle décisif dans la bande dessinée contemporaine1 ». Grand amateur de rock, il a cocréé en 1980 Les Enfants du rock tandis qu’en cinéphile averti, il a présenté Cinéma de quartier sur Canal+ de 1989 à 2007. Dans les années 1990, il a contribué à la popularisation du cinéma asiatique via sa société de production Des Films. – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

Alain Schlockoff, rédacteur en chef du Magazine
L’Ecran Fantastique, pionnier du Fantastique en France

On lui doit notamment L’Ecran Fantastique, l’un des mensuels de référence sur le marché du cinéma fantastique et de science-fiction, qui a su évoluer au fil des années en faisant découvrir les films de genre à des lecteurs de tous les âges. Vers 14 ans, le jeune Schlockoff lit beaucoup de fanzines américains (Famous Monsters of Filmland…). Il décide d’acheter une ronéo pour produire ces propres fanzines : Les Fameux Monstres du Cinéma, Astarté, Crépuscule, Mercurey Bis n°2, Metaluna…). Au début des années 70, il crée des rendez-vous cinématographiques, avec notamment «Les Nuits du cinéma» (dédiées au fantastique).Ces ‘nuits’ sont reprises en décembre 2008, au Forum des images, un samedi par mois. En 1972, il crée le 1er Festival International du Film Fantastique et de Science-fiction au théâtre des Amandiers de Nanterre. Cette manifestation pionnière et unique en son genre connaîtra 18 éditions (dans d’autres endroits: au Grand Rex à Paris…). – plus d’informations sur le site du Bloody Week-end.

07_peluchesEt bien, je n’ai plus qu’à me préparer pour vous faire un compte rendu de ce festival !

Je ne serais présent qu’une journée, donc il ne faudra pas vous attendre à un article aussi énorme que le précédent. En fait, cette année, je vais vous faire un album photo avec des dessins et des montages qui vous plairont peut-être. Pour cela, les peluches vont m’aider : vous les retrouverez samedi et vous pourrez même vous faire prendre en photos avec elles. Tous les clichés seront ensuite diffusés sur l’Antre de Poulpy et sur le Facebook qui va avec. Il n’y aura pas que cela : je vais tenter de dégoter de nouvelles interviews…

À partir de lundi prochain, un nouvel article sortira sur l’Antre du Poulpe. Un article spécial… Bloody Week-end ! Et n’oubliez pas de consulter la page Facebook de l’évènement !

Poulpy.

A propos poulpinounet

Poulpy, c'est un poulpe à tout faire. Il se doit de disperser ses tentacules sur plein de supports... Ce poulpe est graphiste (donc masochiste), il parle de lui à la troisième personne (sérieux ?), est reporter (surtout), et critique. Minimoi s’essaie donc à au dessin, à la photo, et aussi : j’écris (un peu). Mes dessins font place à des montages, les montages à des textes, des histoires, des articles... Blogueur invétéré, Poulp(inounet) ne fait pas que promouvoir la culture, il crée également ses propres œuvres, pour lui comme pour d'autres.
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